Patinoire

Depuis le 7 février, les salles 201 et 209 vont les jeudis matins à l’Iceberg, la patinoire de Strasbourg.

Merci aux parents accompagnateurs pour leur aide !

“Qui a tué M. Pinson ?”, enquête au musée Zoologique

Lundi 4 février la salle 201 a mené l’enquête au musée zoologique pour trouver le meurtrier de M. Pinson.

Qui a tué M. Pinson ?

Après un travail sur les empreintes et la chaine alimentaire de la forêt, l’enquête aboutit :

Les suspects à cause des empreintes : l’écureuil et le chevreuil

Les suspects à cause de la chaine alimentaire : la chouette, le renard et l’épervier

On élimine l’écureuil et le chevreuil car ils sont herbivores.

On élimine la chouette car elle chasse la nuit et le renard car il n’a pas laissé d’empreintes.

Le coupable doit être l’épervier !

Planétarium mobile

Lundi 4 et mardi 5 février, toutes les classes de l’école profitent de la venue du planétarium mobile : les enfants ont assisté à une nuit étoilée sous le planétarium gonflable.

Cela a permis de réviser ou d’apprendre beaucoup sur le système solaire et la voie lactée.

Luxapata, conte musical au Conservatoire

Le 31 janvier, la salle 201 a assisté au conte musical “Luxapata” dans l’Auditorium du Conservatoire :

Retour sur le spectacle rédigé par la classe :

Le conte : Luxapata est une contrée lointaine imaginaire, dirigée par un sorcier, qui grâce à une formule magique « Taratata Luxapata Bene Vede Bellum » permet à de superbes fleurs de pousser. Il dit la formule à l’envers provoquant la mort des fleurs. Cléopha va à la rencontre du sorcier pour le convaincre de redire la formule à l’endroit.

Les messages du conte : importance du bonheur et importance de préserver la nature

Mise en scène : 13 accordéonistes, 1 narrateur, 1 chef d’orchestre.

Les instruments servent à faire ressentir l’ambiance de l’histoire

Monument aux morts de Strasbourg

Le 27 novembre 2018 la salle 201 est allée observer le monument aux morts de Strasbourg.

 

Voici le résultat du travail :

Le monument aux morts de Strasbourg a été élevé en 1936 en mémoire des enfants de la ville tués lors de la Première Guerre mondiale qui se déroula de 1914 à 1918.

Le monument aux morts de Strasbourg a été inauguré, le dimanche 18 octobre 1936, par le président de la République Albert Lebrun. Il porte comme seule inscription « À nos morts » sans mentionner la patrie pour laquelle les soldats sont tombés. En effet, la région a été au gré des guerres tantôt allemande, tantôt française, et des Alsaciens sont tombés au combat des deux côtés.

Pour honorer ces morts, il a été élevé une Pietà laïque représentant une mère (symbolisant la ville de Strasbourg) tenant sur ses genoux ses deux enfants mourants. L’un est allemand et l’autre français, ne portant plus d’uniformes pour les distinguer. Ils se sont combattus et devant la mort enfin ils se rapprochent, ils se donnent la main.

La sculpture a été réalisée par Léon-Ernest Drivier (1878-1951), dans le style d’Auguste Rodin.

Extrait du discours de Henry Lévy lors de l’inauguration :

« Toute cette tragédie est évoquée dans la douleur que reflète cette belle figure de femme non seulement symbole de la patrie, mais symbole aussi de l’humanité meurtrie… recueillant avec une émouvante sollicitude deux guerriers mourants, tombés sous les plis de deux drapeaux, mais, dont les mains se cherchent pour s’unir dans une suprême étreinte. Chacun ressentira profondément la grande pensée qui se dégage de cette œuvre et puisse-t-elle être pour ceux qui nous suivront un objet de méditation ainsi qu’un enseignement. Je voudrais que l’écho des sentiments qui nous animent soit porté plus loin par les flots du Rhin, et que ce monument soit une pierre à l’édifice de la paix, qu’il soit un appel à l’union des peuples, à une fraternité fondée sur la justice et le respect des droits en même temps qu’un acte de foi dans les destinées de notre pays. »